Nous vous avons déjà présenté sur ce blog quelques résultats montrant un lien positif entre e-commerce et environnement.
Une étude un peu plus consistante est venue cet été conforter ces résultats: la FEVAD (Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance) a publié en juin les résultats d’une étude sur l’impact environnemental de l’achat sur internet, réalisée par Estia et Médiamétrie/NetRatings.
Selon les résultats de l’étude, il ressort que l’achat sur internet présente de sérieux atouts sur le plan de l’environnement. En effet, le modèle e-commerce présente un bilan positif sur l’ensemble des critères environnementaux étudiés.
Quelques résultats-clés de l'étude:
Ce sont les déplacements induits par 5400 achats en ligne qui ont été étudiés, comparés au déplacements qui auraient été nécessaires pour effectuer les mêmes achats dans le circuit de distribution classique. Il en ressort que la distance totale "non parcourue" grâce à l'achat en ligne est 53 000 km, soit un peu plus de 10km économisés par livraison.
En limitant les déplacements, l'e-commerce permet de diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre. A l'échelle des livraisons annuelles réalisées par les prestataires Coliposte et Kiala, cela représente l'équivalent de CO2 stocké par une forêt de 126 000 ha.
Le modèle e-commerce permet de diviser par 4,5 la consommation de ressources non-renouvelables liées au déplacements. Soit toujours en utilisant l'exemple Coliposte / Kiala, l'équivalent des besoins de chauffage annuels d'un département comme la Charente Maritime.
Ces déplacements économisés ont également bien sûr un impact positif sur la santé humaine et sur la préservation de la biodiversité.
Ces résultats sont plutôt encourageants et sont à notre sens un argument fort en faveur du développement de l'e-commerce!
Pour ceux qui veulent aller plus loin, le communiqué de presse avec les résultats détaillés est disponible ici:
Au menu cette semaine, une vidéo de la chaîne YouTube de l'Académie du Vin, un site fort utile que nous vous invitons à découvrir, particulièrement pour les étudiants et vignerons amateurs parmi vous!
Il s'agit de la première d'une série de vidéos sur la vinification, qui aborde les vins blancs, les vins rosés et les vins rouges.
Nous avions été les premiers à vous parler de ce projet innovant de vin collectif initié par Renaud Berthoud du domaine Mazet des Croses.
Où en sont-ils aujourd'hui? Pour commencer plutôt contents de leur récolte: qualité et maturité sont au rendez-vous. Par ailleurs leur projet a été bien relayé sur Internet puis dans la presse (voir notamment ce reportage de France 3 Languedoc-Roussillon), ce qui a permis de récolter des premières candidatures. D'autres relais dans la presse écrite doivent suivre.
Pour laisser plus de temps aux candidats à ce beau projet, M. Berthoud prolonge les inscriptions jusqu'au 31 octobre. Inscrivez-vous nombreux sur le site www.r-assembler.fr!
C'est avec grand plaisir que nous voyons de plus en plus de vidéos vigneronnes / viticoles / vinicoles / oenologiques fleurir sur les sites de partage de vidéos comme YouTube et Dailymotion!
Certains vignerons utilisent ces supports pour communiquer auprès de leurs clients, mais il peut s'agir également de présentations de nouveaux matériels, de formations en ligne, de reportages de chaînes de télévision locales, etc.
Toutes les semaines, nous allons vous présenter une nouvelle vidéo, si possible en lien avec l'actualité viticole du moment.
Cette semaine, vous êtes nombreux à vendanger dans les vignobles septentrionaux, alors voici une vidéo de circonstance, un bilan pré-vendanges chez une institution alsacienne:
L'époque des vendanges est l'occasion de se rendre compte du danger que représente le CO2 dans les chais. Produit de la fermentation du vin, le CO2 devient dangereux à partir d'une concentration dans l'air de 3% sur une durée de 15 minutes. Un graphe MSA montre que la période à risque se situe entre le 4ème jour de vendange et 10 jours après la fin des vendanges, avec un pic d'émission entre le 7ème et le 10ème jour (majorité des moûts en fermentation).
Traditionnellement on utilise un briquet ou une bougie pour détecter un excès de CO2 dans une cuve, mais ce test n'est pas fiable car il mesure en réalité le déficit d'oxygène. Par ailleurs, le CO2 étant plus lourd que l'air, il peut subsister dans le chai même si celui-ci est bien ventilé.
Les MSA sont bien conscientes de ce risque et proposent régulièrement des réunions de sensibilisation. Elles communiquent également via leurs sites (cf. liens ci-dessus). Conclusion? Les MSA recommandent avant tout de s'équiper d'un détecteur de CO2 portable, afin de l'avoir avec soi à tout moment.
Le nouveau détecteur de CO2 portable que nous proposons sur e-viti (ToxiVision IR CO2 de Sperian) répond à tous les critères de sécurité et d'ergonomie requis d'un tel outil. Il est compact, solide et pratique: affichage grand format des valeurs, un seul bouton de commande, rétro-éclairage de l'écran. Il est équipé d'alarmes visuelles et sonores, ainsi que d'un vibreur très pratique pour les environnements bruyants. Il est également étanche et submersible (norme IP67).
Voilà donc un appareil très pratique et bien réalisé qui peut intéresser à la fois vignerons, fédérations, caves coopératives, oenologues, etc. Nous sommes également en mesure de vous proposer le service technique (contrôle annuel) qui accompagne nécessairement ce type d'appareil. Contactez-nous pour plus d'informations!
Bienvenue sur le blog d'e-viti, le spécialiste de la vente en ligne de fournitures et de matériels pour le travail de la vigne et l'oenologie. N'hésitez pas à commenter nos articles!